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dimanche 15 novembre 2015

millstones ft. Hatsune Miku - Chloride ni Shizumu


Titre original : クロライドに没む
Musique : millstones
Movie : Ta-k
Vocal : Hatsune Miku
https://www.youtube.com/watch?v=XAKWq8wOrII
http://www.nicovideo.jp/watch/sm21793330

PAROLES :
Shizuka ni furitsuzukeru manatsu no yuki
Ashita mo mirai mo shiro no sukima ni shizunde yuku

Koware hizunda sora no doukoku ga
Hikari no you ni machi wo mitashita
Kudaketa yume to itami wo wasurete
Ikasareru nukegara no inochi

Shitsui to urei ni irodorareta machi
Akatsuki ni somaru
Hate naku tsuzuku shiro no kouya

Toki wo tometa kono me kara kobore ochita namida de sae
Sono kawaita karada wo mou uruoshite wa kurenai no darou

Asu wo nakushita no nara
Kono saki ni nani wo mireba ii no darou
Deguchi no nai meiro to
Shiroi umi ni shizumu

Nukumori wa tada yuruyaka ni tsukite
Nigiru te wa kuzureochi toketa
Hosoku kasureta yasashii uso ga
Yobiokosu wasureta itami wo

Dakiyoseta se wa ude wo surinukete
Yume wa mou suna no you ni kieta
Akirameta sekai nidoto modoranai
Toki no saki wo miru koto mo nai

Yagate kuchihateru nara
Kono basho de mazari atte tomo ni nemuru
Kimi to itsuka nozonda sasayaka na eien

Tsumetai shizukesa dake ga
Kono basho ni hana wo tamukete kureru darou
Nanimo kamo nomikonda shiroi umi ni nemuru


TRADUCTION :
La neige de l'été continue calmement de tomber
Demain et l'avenir sombrent dans une fissure blanche

Les lamentations de ce ciel distordu et brisé
On remplit la ville comme de la lumière
J'ai oublié mes rêves brisés et ma douleur
Pour pouvoir vivre dans cette coquille

La déception et l'inquiétude ont coloré la ville
Teinte par l'aube
Cette terre blanche en friche est sans fin

Ce corps desséché ne sera pas même arrosé
Par les larmes tombant de ces yeux qui ont arrêté le temps

Si demain est perdu
Que verrait-on par delà ?
Un labyrinthe sans issue
Et une mer blanche dans laquelle on plongerait

La chaleur devient lentement inutilisable
La main que je serrais s'est dissolue
Ces mensonges craquelés, minces et doux
Ont rappelé dans mon esprit la douleur que j'avais oubliée


Mes bras sont passés au travers du dos que je voulais serrer
Ce rêve a disparu comme du sable
Je ne retournerai jamais dans le monde que j'ai abandonné
Et ne regarderais plus jamais le passé

Si on finit tout de même par pourrir
A cet endroit mélangeons-nous et dormons
Dans la simple éternité que j'ai souhaité avec toi

Seul le froid silence
A offert des fleurs pour mon départ
Je vais dormir dans la mer blanche qui a tout englouti

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